GAYAT Auguste (Issoudun) + 01/05/1916 Montzéville (55)

Nom: GAYAT
Prénom: Auguste
Né le 20 novembre 1892 à Meunet Planches (36) - Fils de Jean Baptiste et de Marie DESSOUBRAIS
Au moment de sa conscription, il est domicilié à Issoudun (36) et déclare la profession de Cultivateur.

Sa fiche matricule aux archives départementales de l'Indre

Soldat au 66ème RI, il décède le 01/05/1916 à Montzéville (55) "Blessures de guerre".

Sa fiche sur le site Mémoires des Hommes.

Il figure sur le Monument et le Livre d'Or d'Issoudun (36). Un exemplaire de diplome de Mort pour la France fut transmis à la mairie de ce dernier lieu.

Une sépulture porte son nom au cimetière communal de Issoudun

Cliché Alain Bréjaud

Avec l'aimable autorisation de Hervé Sabot

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Détail de son parcours:
Incorporé le 10 Octobre 1913 au 90è régiment d'infanterie. Soldat de 2è classe.
Blessé le 17 septembre 1914 à Thuisy, éclat d'obus dans la cuisse droite.
Passé au 135è régiment d'infanterie le 4 décembre 1915.
Passé au 66è régiment d'infanterie sur décision de la 18è division d'infanterie en date du 2 janvier 1916

Médaille militaire à titre posthume (JO du 14/04/1920) : "Soldat brave et dévoué, Tué en acomplissant courageusement son devoir, le 1er mai 1916 à Montzéville."
Croix de guerre, étoile de bronze

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Ses deux frères :
Pierre Gayat :
Rappelé à l'activité service armé, Incorporé le 23 février 1915, arrive au corps (89è RI) le dit jour.
Parti aux armées le 30 mai 1915, rayé des contrôles le 3 juin 1915, affecté au 289è RI le 8 juin, soldat de 2ème classe.
Blessé au combat de Souchez cote 119 le 25 septembre 1915 (Commotion cérébrale, contusion du thorax par torpille)

Henri Gayat :
Rappelé à l'activité service armé, Incorporé le 20 février 1915, arrive au corps (89è RI) le dit jour. Soldat de 2è classe
Passé au 168è régiment d'infanterie le 4 aout 1915. Parti au front le 5 août 1915
Blessé par balle le 25 septembre 1915 au secteur saint Thomas. Plaie pénétrante cuisse droite par balle.

Les 2 frères blessés le même jour ! L'un en Artois, l'autre en Argonne, ils s'en sont tous les deux sortis contrairement à Auguste.

Merci à Hervé Sabot pour toutes ces informations.